Quand les portes du café s’ouvrent (enfin), l’ambiance est déjà là !

Sur le coin du zinc, les habitués du café le rebaptisent « Le café des créalcooliques », à moins que cela ne soit « Les zinzins du zinc »…


C’est l’heure des rencontres à table, et de la création de brèves de comptoir poétiques. Nous vous invitons à les déguster gorgée après gorgée.

« Il faut continuer d’avoir des premières fois tout au long de la vie »

« Les couleurs et les autres pour imaginer des changements et voir différemment »

« La curiosité envers l’inconnu est un joli défaut »

« Parler à l’autre, c’est quand même plus compliqué que de parler aux autres ! »

« La force centripète est tellement plus forte que l’autre »

« Être cortiqué ou ne pas être cortiqué ? Mot à jeter ou mot à garder ? »

« La lutte de Jacob où danser corps à corps avec l’Autre »

Le jukebox est lancé pour une chorée du café qui fait bouger les corps… Il fait soif maintenant ! César sera notre guide avec sa recette surréaliste des Quatre tiers.

https://www.youtube.com/watch?v=oZZJFfk_Oh8

Inventer le cocktail qui nous fait rêver

Pour inventer le cocktail qui nous fera rêver, la recette est la suivante :

  • 1/3 de madeleine de Proust, un souvenir du passé,
  • 1/3 de sensation présente,
  • 1/3 d’envie, de désir,
  • 1/3 de grain de folie, d’humour, de sérendipité.

Merci à vous tous, les barista qui nous avez fait goûter vos cocktails aux noms enchanteurs « Magie blanche, optimisme en magnum », « Jus de cigarillo musical », « L’impatient », « Heure de pointe rafraichissante ».